Un utilisateur mal intentionné peut, par le biais d'un mél habilement conçu, contourner les règles de filtrage du logiciel Mailsweeper.
Il est possible de bloquer la communication entre un serveur d'administration à distance pcAnywhere et ses clients. Il s'agit d'un débordement de mémoire. Comme pour tout débordement de mémoire, il y a un risque d'exécution de code arbitraire sur la machine cible.
Une vulnérabilité d'IBM HTTP Server sous Windows NT 4 ou 2000 permet à un utilisateur mal intentionné de bloquer à distance le service web.
Un utilisateur mal intentionné peut, par le biais de requêtes spécifiques en HTPP, créer un déni de service sur un serveur distant.
Un utilisateur mal intentionné peut ouvrir une console avec des droits d'administrateur sur un système ayant le client OpenView Omniback.
Une vulnérabilité de l'utilitaire sudo permet à un utilisateur mal intentionné d'obtenir les privilèges root.
Le bulletin MS01-015 de Microsoft comprend quatre vulnérabilités. Deux vulnérabilités concernent Internet Explorer, une vulnérabilité concerne Windows Scripting Host et une autre le client Telnet du service Unix 2.0.
De nombreuses vulnérabilités ont été découvertes dans les commutateurs CISCO IOS. Cinq vulnérabilités concernent les communautés SNMP (Simple Network Management Protocol) et une autre vulnérabilité concerne le protocole TCP.
Un mauvais traitement des URL envoyées au serveur IIS ou Exchange 2000 permet à un utilisateur mal intentionné de bloquer à distance le service HTTP.
Un utilisateur mal intentionné peut, à l'aide d'un formulaire Lotus (Stored Form) habilement construit et inséré dans un courrier électronique, faire exécuter du code par le client de son destinataire.